vendredi 26 juin 2009

La musique dans le sang




Voici quelques morceaux d'interview donné par Michael Jackson.


"Au fond, quand je pense à mon enfance, je ne me souviens que du travail, même si j'adorais chanter. [...] Je l'ai fais parce que j'adorais ça et parce que c'était aussi naturel pour moi que de respirer. Je l'ai fait parce que j'étais poussé, non pas par mes parents ou ma famille, mais par une force intérieure qui m'entraînait dans le monde musical.[...] Je me souviens quand ma mère me tenait dans ses bras en chantant "You Are My Sunshine" et "Cotton Field". Elle chantait souvent pour nous.[...] Elle aimait aussi Willie Nelson. Elle a toujours eu une voix magnifique. Je suppose que mon talent de chanteur vient d'elle, et de dieu, bien entendu."

J'ai toujours eu une voix douce et je n'ai pas de raison de la cacher en chantant tout le temps. Je n'ai pas cultivé, ni trafiqué le son de ma voix : elle est telle que Dieu me l'a donné, et c'est a prendre ou a laisser, c'est la mienne.[...] Je plaisante souvent en disant que je n'ai jamais demandé à chanter ou à danser, mais c'est vrai. Quand j'ouvre la bouche, la musique en sort, et je me sens béni d'avoir reçu ce don. J'en remercie Dieu chaque jour. J'essaie de cultiver ce qu'il m'a donné, je sens que quelque chose me pousse à le faire.

" la musique se fiche de la couleur de peau ".

L'imagination d'un artiste est son outil le plus précieux. Cela permet de créer des sensations, des sentiments, que les gens aiment avoir, ou bien cela peut vous transporter n'importe ou, simultanément.
La plupart de mes idées me viennent dans mes rêves.

J'ai laissé la danse se créer toute seule ; et je l'ai véritablement laissée ME PARLER. J'ai écouter "le beat" monter. J'ai attrapé le chapeau d'espion et j'ai commencé à marcher et a prendre la pose, en laissant le rythme de "Billie Jean" créer le mouvement. Je me sentais poussé à laisser les choses se faire toutes seules.

j'avais l'habitude de demander à ma soeur Janet de me suivre dans une pièce qui avait une acoustique intéressante, comme la penderie ou la salle de bains, et je lui chantais juste une note. Il n'y avait pas de paroles, rien. Je lui fredonnais seulement, du fond de ma gorge. Je lui disais : "qu'est ce que tu vois Janet, qu'est ce que tu vois quand tu entends ce son? " Et ce jour là, elle m'a dit : "Tu parles de l'Afrique. Tu parles des enfants qui meurent." C'est de là qu'est née la chanson "You Are The World".
Michael Jackson

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